Il n'y avait pas de place pour tout le monde aux cérémonies d'ouverture et de clôture des Jeux olympiques de Paris 2024. Pendant que des groupes comme Gojira, Phoenix ou encore Air brillaient devant des millions de téléspectateurs, d'autres artistes ne parvenaient pas à cacher leur déception concernant leur absence des festivités. Cela fut notamment le cas de David Guetta, qui s'était étonné de ne pas avoir été contacté par l'organisation auprès de l'AFP : "Si vous avez la réponse vous allez me la donner. Parce que moi, je n’ai pas du tout compris. Au niveau mondial, je suis toujours entre le 4e et le 15e artiste le plus écouté dans le monde, pas DJ, artiste. Personne ne m’a appelé. Et pourtant je suis Français et j’adore la France. C’est comme ça." Matt Pokora avait lui clairement affiché sa déception en mai dernier : "J’aurais aimé le faire, on ne me l’a pas proposé." Nicolas Sirkis évoque l'absence d'Indochine aux JO
De son côté, Nicolas Sirkis, lui, vit bien l'absence d'Indochine des cérémonies des Jeux olympiques. Interrogé sur l'absence de son groupe aux JO dans un entretien paru dans Le Parisien ce vendredi 6 septembre, le chanteur de 65 ans a répondu avec humour : "Non, on n’a pas reçu le Bristol !", avant d'ajouter avec sarcasme : "On ne fait pas partie de ce club parisien, France Inter, Télérama. Je pense qu’ils n’ont même pas pensé à nous." "Il y a des choses que j’ai adorées, d’autres un peu moins"
Malgré tout, Nicolas Sirkis assure ne pas être vexé, le tout en taclant certains de ses confrères : "Pas du tout. Mais vous aurez remarqué que nous avons eu la décence de ne pas en parler comme certains de nos collègues…" L'artiste français avoue même avoir passé du bon temps durant la quinzaine olympique : "J’ai été ravi de ces JO, j’ai vu plusieurs épreuves avec mes enfants, j’ai acheté mes places. C’était extraordinaire. Sur la cérémonie d’ouverture, il y a des choses que j’ai adorées, d’autres un peu moins. Gojira, c’était fou." À noter qu'Indochine sort ce samedi 7 septembre son nouvel album, intitulé Babel, Babel.
