Welcoming Remarks:
- Emma Gooch, Program Manager, eCampusOntario
- Robert Luke, CEO, eCampusOntario
- DM Shelley Tapp, Deputy Minister, Ministry of Colleges and Universities
Keynote: Presented by Dr. Mark Brown, Chair of Digital Learning and Director, Dublin City University
Micro-credentials are the latest shiny new thing attracting the attention of politicians, policy-makers and educational leaders. This presentation explores why 2022 is arguably the “International Year of the Micro-credential” and endeavours to unbox some of the underlying drivers, inherent tensions and implementation challenges as we seek to make micro-credentials work. It reports some of the findings of a recent state-of-the-art literature review on the growth of micro-credentials, which offers an inside, upside and downside view on the burgeoning field. Selected results illustrate how micro-credentials brings into question much bigger issues concerning employability, the changing nature of work and new models of life-long learning. Importantly, the ‘why?’ and ‘how?’ of micro-credentials must be understood in a broader institutional and socio-cultural context. The micro-credential movement as it increasingly challenges the traditional status of the university degree is part of a complex credential ecology steeped in history and cultural norms. In the backdrop of major societal and technological change forces, and the post-COVID world, participants are challenged to critically reflect on the future role of universities and what counts as valued skill and knowledge in today’s rapidly changing digital society. We then explore new and emerging business models for post-secondary education, with several contrasting examples shared from around the globe. By the end of the talk, the objective is to help participants decide if the micro-credential is just another passing educational fad and whether or not they need to get their hands dirty in finding creative ways to mix oil and water.
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Les micro-titres de compétences constituent la dernière nouveauté ingénieuse qui attire l’attention des politiciens, des décideurs et des chefs de file de l’éducation. Cette présentation explore les raisons pour lesquelles 2022 est sans doute l’« Année internationale des micro-titres de compétences » et s’efforce de mettre en évidence certains des moteurs sous-jacents, des tensions inhérentes et des défis à la mise en œuvre tandis que nous cherchons à faire des micro-titres de compétences une réussite. Elle présente quelques-unes des conclusions d’une récente revue de la littérature de pointe portant sur la croissance des micro-titres de compétences, qui offrent une vision tous azimuts de ce domaine en plein essor. Les résultats sélectionnés illustrent la façon dont les micro-titres de compétences remettent en question des enjeux beaucoup plus importants concernant l’employabilité, la nature changeante du travail et les nouveaux modèles d’apprentissage permanent. Par-dessus tout, le « pourquoi » et le « comment » des micro-titres de compétences doivent être compris dans un contexte institutionnel et socioculturel plus large. Le mouvement des micro-titres de compétences, qui remet de plus en plus en question le statut traditionnel du diplôme universitaire, fait partie d’une écologie complexe des titres de compétences, ancrée dans l’histoire et les normes culturelles. Dans le contexte des grandes forces de changement sociétal et technologique et du monde post-pandémie de COVID, les participants sont invités à réfléchir de manière critique au rôle futur des universités et à ce qui est considéré comme des compétences et des connaissances précieuses dans la société numérique actuelle qui évolue rapidement. Nous explorerons ensuite les modèles commerciaux nouveaux et émergents liés à l’enseignement postsecondaire, avec plusieurs exemples contrastants provenant du monde entier. À la fin de la conférence, l’objectif sera d’aider les participants à décider si les micro-titres de compétences ne sont qu’une autre mode passagère dans le monde de l’éducation et s’ils doivent ou non investir des efforts pour trouver des moyens créatifs de mélanger l’huile et l’eau.
