Le député de la Vienne, Nicolas Turquois, courageux en diable, se souviendra longtemps de sa visite aux Fonderies du Poitou à Ingrandes ce vendredi 3 juillet. Il en a pris pour son grade, par 200 salariés en colère. Entre invectives, sifflets, moquerie et bronca, il a été acculé dans les cordes. Les gendarmes étaient à deux doigts d’intervenir. Cette phrase du député interpellé restera dans les mémoires : « Non, je n’ai pas quitté la réunion parce que j’avais piscine ! »
