Dans son tour des 260 refuges, Alain Lambert a rencontré des personnes exceptionnelles qui ont adoptés une multitude de chiens, de chats, de chevaux ou d’oiseaux et qui sacrifient leurs vacances, leurs loisirs et leur vie privé pour les entretenir et les protéger.
Mais tout le monde n’a pas cette force de caractère. Le défaut de vaccinations et de soins vétérinaires, le choix d’une nourriture inadapté, l’isolement et le manque d’activité sont parfois le fruit de négligences mais aussi de situation d’urgence. Les salariés et les bénévoles sont régulièrement exposés aux drames de la précarité mais aussi aux abandons de convenances.
Travailler dans un refuge n’est pas toujours aisé. Pourtant les agents d’accueil des 260 refuges de la confédération savent souvent faire la différence entre un cas de force majeure et la mauvaise foi d’un abandonneur.
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