[ Ссылка ] Si Beppe Grillo et ses partisans contestent avec vigueur la réélection de Giorgio Napolitano comme chef de l'Etat, ils font certes entendre leurs voix mais le reste de la classe politique italienne attend désormais la suite.
L'imbroglio né des élections des 24 et 25 février dernier reste à dénouer. Pas de majorité dans les deux chambres et donc pas de gouvernement. Voilà de quoi dénoncer un "coup d'Etat institutionnel" selon les grillini ?
"Il n'a pas été élu par le peuple. Nous en avons assez de ces présidents qui viennent de cette vieille caste politique, nous voulons un président qui représente réellement le peuple italien. Nous ne voulons plus d'un président issu d'un de ces partis qui ne défendent qu'eux mêmes, c'est pourquoi nous sommes tous ici", explique cet italien.
A 87 ans et après 7 ans au Palais présidentiel du Quirinal, Giorgio Napolitano a accepté de rester aux commandes, poussés par le centre-gauche et le centre-droit après un scrutin présidentiel qui a tourné à un nouveau jeu de massacres.
Désormais, Napolitano doit dévoiler sa stratégie. Son discours ce lundi devant les deux chambres du parlement est très attendu dans la péninsule et au-délà.
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