"Mission impossible", répond Philippe Vincent, secrétaire général du SNPDEN, premier syndicat des chefs d'établissement.

Reprise étalée sur trois semaines selon les niveaux, possibilité pour les parents de refuser d'amener leur enfant à l'école...

Francette Popineau l'assure: "Quelle que soit la décision prise mardi, on demande au gouvernement un cadrage national sécurisé, validé par une autorité médicale sinon on ne redémarrera pas l'école, on ne fera pas prendre de risques au personnel", prévient-elle.

Agnès Le Brun, porte-parole en charge des questions d'éducation au sein de l'Association des maires de France, va dans le même sens.

Pour Benoît Teste, secrétaire général de la FSU, "si on rouvre les écoles, il faut respecter des conditions sanitaires très, très strictes mais cela semble très compliqué à mettre en oeuvre".

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