Parfois un problème nous paraît tellement si grand..
Et si nous le ramenions à taille humaine ?
L'ampleur du problème dépend de la faculté de notre esprit à réagir face à la situation. De notre capacité à nous faire confiance dans la surmontée de ce problème/obstacle.
Parfois c'est juste un grain de sable qu'on regarde au travers d'une loupe.
Mais reflète -t-il la réalité de nos propres yeux?
L'outil (loupe) est-il nécessaire à la résolution de ce problème.
Et si nous regardions l'ampleur du problème fidèlement à son image? Alors peut-être saurions nous réagir en conséquence, proprement. Et non sur-réagir qui génère stress supplémentaire et du "noir/flou" supplémentaire. Vous savez, ce fameux "broyer du noir" lorsque nous croyons que quelque chose est insurmontable et insoluble.
Alors qu'en prenant de la hauteur et du recul et en apprenant à redescendre en pression, nous pourrions à posteriori constater que ce n'était pas la "mer à boire". Que ce n'était qu'une réaction du mental, de la peur.
La peur peut-être d'être vu.e, jugé.e, regardé.e dans un sentiment et acte considéré comme "fautif"; qui est loin de l'image de la "perfection".
Est-ce s'aimer que de fonctionner ainsi?
N'est-ce pas là un acte d'autounition?
Et il est où l'indulgence dans tout ça?
Car si la perfection existait, ça se saurait!
Et comme j'aime à dire et à penser tout haut, si un problème existe, c'est que sa résolution est déjà là. La solution est loin d'être loin. Elle est même à portée de main.
Et la solution bien souvent se présente lorsque le mental aura bien voulu lâcher prise sur le drama personnel et les histoires que l'on peut bien se raconter.
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