Le conservateur Ebrahim Raïssi est le grand favori de ce scrutin. Face à lui, il y a l'ancien président de la banque centrale iranienne, Abdolnasser Hemmati, seul candidat modéré. Sa tâche est particulièrement difficile puisqu'il doit mobiliser un électorat réformateur très déçu du bilan du président Hassan Rohani : l'inflation dépasse les 50% et la valeur de la monnaie iranienne a grandement chuté. Depuis Téhéran, les précisions de Siavosh Ghazi.
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