L'enfer est décrit de différentes manière selon différentes sources de la littérature islamique. Il est gigantesque, et situé en dessous du paradis. Il possède sept niveaux (chacun étant plus rude que l'autre); des montagnes, rivières, vallées et même des océans remplis de fluides dégoûtants.
Dans l'Écriture hebreux , le terme Sheol possède quelque seize synonymes, ce qui prouve l'importance de la notion qualifiée : « monde souterrain, poussière, séjour de la destruction, lieu du silence, ténèbres, lieu de l'oubli... ». Dans quelques sources, par exemple Deutéronome 32:22, Sheol semble être synonyme de « profondeurs de la Terre ». On compare parfois le Sheol au monde souterrain sombre et ténébreux de l'Hadès ou du Tartare de la mythologie grecque. Le Sheol est la destination commune des justes et des impies, le pieux et juste ; Job voit en effet le Sheol comme sa destination (Job 3)[réf. souhaitée] :
« Tous les morts s'en vont dans le Sheol, et ils y reposent ensemble, bons ou mauvais, riches ou pauvres, libres ou esclaves (Job 3:11-19). »
Cependant, dans de nombreuses occurrences, le Sheol ne semble pas être une destination ou même un lieu, mais simplement « la tombe »2. Dans l'Ecclésiaste, par exemple, « […] les morts ne savent rien ; ils n'ont plus de récompense, et jusqu'à leur souvenir est oublié. » De même, « Quoi que tes mains trouvent à faire, fais-le pleinement car dans le Sheol, où tu vas, il n'y a ni travail, ni plan, ni connaissance, ni sagesse. » (Ecc. 9:5-10)
Jacob, éploré à l'annonce de la mort supposée de Joseph, s'exclame : « Je veux descendre vers mon fils, endeuillé dans le Sheol » (Genèse 37:35). Le Sheol peut être personnifié : Sheol n'est jamais rassasiée (Proverbes 30:20) ; elle « a agrandi son désir et ouvert sa bouche sans mesure » (Isaïe 5:14), mais il s'agit vraisemblablement d'allégories.
Le 13 juillet 1917, la Sainte Vierge a montré l'enfer aux trois petits voyants. Voici comment sœur Lucie décrivit cette vision dans son quatrième mémoire
En disant ces dernières paroles, elle ouvrit de nouveau les mains, comme les deux mois précédents. Le rayon parut pénétrer la terre et nous vîmes comme un océan de feu. Plongés dans ce feu, les démons et les âmes, comme s'ils étaient des braises, transparentes et noires ou bronzées, ayant forme humaine qui flottaient dans l’incendie, soulevées par les flammes qui sortaient d’elles-mêmes en même temps que des nuages de fumée, tombant de tous côtés, semblables à la retombée des étincelles dans les grands incendies, sans poids ni équilibre, au milieu des cris et des gémissements de douleur et de désespoir qui horrifiaient et faisaient trembler de frayeur. (Ce doit être en regardant cette vision que j’ai dû pousser ce "Aie !" que l’on dit avoir entendu de moi). Les démons se distinguaient par des formes horribles et répugnantes d’animaux effrayants et inconnus, mais transparentes comme des charbons noirs embrasés.
Effrayés, comme pour demander secours, nous avons levé les yeux vers Notre-Dame qui nous dit avec bonté et tristesse :
« Vous avez vu l’enfer où vont les âmes des pauvres pécheurs. Pour les sauver, Dieu veut établir dans le monde la dévotion à mon Cœur Immaculé. Si l’on fait ce que je vais vous dire, beaucoup d’âmes se sauveront et l’on aura la paix. »
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