Some tattoos were enough to turn a woman into an Egyptian goddess.
A bioarchaeologist and Postdoctoral Fellow at Stanford University, familiar with skulls and bones in every respect, Anne Austin has worked extensively and comprehensively on human remains in the New Kingdom’s Egyptian village of Deir el-Medina, where she was fortunate enough to spot some tattoos, widely ignored so far, on a feminine torso. Using a special stretching software together with Professor Cédric Gobeil, she was able to identify sacred images that could call into question the role of women in Ancient Egypt.
Quelques tatouages sacrés suffisaient à transformer une femme en déesse égyptienne.
Archéothanatologue et chercheur postdoctoral à l’université de Stanford, grande spécialiste de toutes sortes d’ossements, Anne Austin s’est consacrée particulièrement à l’étude de restes humains à Deir el-Médina, un village égyptien du Nouvel Empire, où elle a repéré (un point négligé jusque-là) la présence de tatouages sur un torse féminin. En utilisant un logiciel de « stretching » particulier avec le professeur Cédric Gobeil, elle a identifié des images sacrées qui pourraient remettre en question le rôle des femmes dans l’Égypte ancienne.
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