▶︎Le Quiz Graisse Résistante : [ Ссылка ]
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Aaah les zones résistantes... bas du ventre, hanches ou poignées d'amour. Qu'ont elles de si particulier, pourquoi ça ne part pas ?
Moi c’était le ventre, et c’est vrai que les abdos ne les faisaient pas partir.
Les ceintures chauffantes, les massages ou s’enrouler dans de la cellophane… non plus.
Mais une fois que j’ai regardé dans le détail… j’ai compris ce qui bloquait.
Je vous propose de voir les choses différemment.
Cette semaine :
- Ce qui bloque exactement
- Pourquoi les zones résistantes sont différentes
- Les solutions particulières
Les études mentionnées
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Concernant le stress et les hormones :
McEwen, B. S. (2007). Physiology and neurobiology of stress and adaptation: Central role of the brain. Physiological Reviews, 87(3), 873-904. Cette étude examine comment le stress affecte notre corps, notamment en modifiant les niveaux d'hormones.
En relation avec le stress et la prise de poids :
Adam, T. C., & Epel, E. S. (2007). Stress, eating and the reward system. Physiology & Behavior, 91(4), 449-458. Cet article discute du lien entre le stress, la consommation alimentaire et les systèmes de récompense dans le cerveau.
À propos des récepteurs alpha et de la graisse résistante :
Lafontan, M., & Berlan, M. (1993). Fat cell adrenergic receptors and the control of white and brown fat cell function. Journal of Lipid Research, 34(7), 1057-1091. Cette étude décrit comment les récepteurs alpha dans les cellules adipeuses affectent la fonction des cellules graisseuses blanches et brunes.
Perte de poids et métabolisme :
Dulloo, A. G., & Montani, J. P. (2015). Pathways from dieting to weight regain, to obesity and to the metabolic syndrome: an overview. Obesity reviews, 16(S1), 1-6.
Cette étude souligne que le cycle de perte et de gain de poids peut entraîner des modifications métaboliques qui rendent plus difficile la perte de poids à long terme.
MacLean, P. S., Bergouignan, A., Cornier, M. A., & Jackman, M. R. (2011). Biology's response to dieting: the impetus for weight regain. American Journal of Physiology-Regulatory, Integrative and Comparative Physiology, 301(3), R581-R600.
Cette étude montre que le corps répond à la perte de poids en réduisant le métabolisme énergétique et en augmentant la tendance à stocker les graisses, rendant ainsi la perte de poids plus difficile avec le temps.
Bosy-Westphal, A., Schautz, B., Lagerpusch, M., Pourhassan, M., Braun, W., Goele, K., ... & Müller, M. J. (2013). Effect of weight loss and regain on adipose tissue distribution, composition of lean mass and resting energy expenditure in young overweight and obese adults. International journal of obesity, 37(10), 1371-1377.
Cette étude a trouvé que la perte et le regain de poids peuvent entraîner une redistribution des graisses, avec une augmentation de la graisse sous-cutanée, qui est plus résistante à la perte de poids.
Thörne, A., Lönnqvist, F., Apelman, J., Hellers, G., & Arner, P. (2002). A pilot study of long-term effects of a novel obesity treatment: omentectomy in connection with adjustable gastric banding. International journal of obesity, 26(2), 193-199.
Cette étude chez des personnes subissant une chirurgie bariatrique a montré qu'après une perte de poids importante, suivie d'une reprise de poids, il y avait une augmentation significative de la graisse sous-cutanée.
Svendsen, O. L., Hassager, C., & Christiansen, C. (1993). Effect of an energy-restrictive diet, with or without exercise, on lean tissue mass, resting metabolic rate, cardiovascular risk factors, and bone in overweight postmenopausal women. The American journal of medicine, 95(2), 131-140.
Cette étude a examiné les effets d'un régime restrictif en énergie avec ou sans exercice sur la composition corporelle, y compris la graisse sous-cutanée, chez des femmes ménopausées en surpoids. Les résultats ont démontré que la reprise de poids était principalement due à une augmentation de la masse grasse, en particulier dans le compartiment sous-cutané.
Rosenbaum, M., & Leibel, R. L. (2010). Adaptive thermogenesis in humans. International journal of obesity, 34(S1), S47-S55.
Cette étude examine comment la perte et la reprise de poids affectent différents types de graisse, y compris la graisse sous-cutanée. Elle suggère qu'après une perte de poids, il peut y avoir une augmentation de l'efficacité du stockage de l'énergie dans la graisse sous-cutanée, conduisant à une reprise de poids.
McLaughlin, T., Lamendola, C., Liu, A., & Abbasi, F. (2011). Preferential fat deposition in subcutaneous versus visceral depots is associated with insulin sensitivity. The Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism, 96(11), E1756-E1760.
Cette étude montre que le dépôt de graisse dans les zones sous-cutanées est associé à une meilleure sensibilité à l'insuline par rapport à la graisse viscérale.
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