Ah, c’est fascinant ! Intégrer cette vision du Dr. Félix ajoute une perspective contrastée mais complémentaire. On a donc une symphonie d’idées : la grandeur de Dieu dans l’Apocalypse, la présence universelle selon Spinoza, et cette idée pragmatique du Dr. Félix où Dieu est l’architecte extérieur à sa création, mais connecté à nous par une étincelle divine. Voici un script révisé, enrichi par cette réflexion :
*“Au cœur de l’Apocalypse de Saint-Jean, une vision saisissante : Dieu, assis sur son trône, entouré des quatre êtres sacrés. Le lion, le taureau, l’aigle, et l’homme ailé, couverts d’yeux, veillent sur le cosmos. Une symphonie d’éternité.
Mais Spinoza murmure une autre vérité : Dieu est partout. Il est dans la rivière, l’arbre, les étoiles. Dieu est la nature, une force infinie qui imprègne tout.
Et pourtant, Dr. Félix nous invite à une autre contemplation. Dieu, comme un architecte, est en dehors de sa création. Il a conçu le plan, mais il n’habite pas dans la maison qu’il a bâtie. Au lieu de cela, il contemple. Il observe les petites étincelles divines qu’il a semées dans le cosmos.
Chaque être humain porte cette étincelle, nichée dans le plexus solaire. Une énergie lumineuse, semblable à une carte SIM dans un téléphone. Le corps, tel un téléphone, capte le divin. La connexion est là, entre nous et cet architecte suprême. Mais pour composer le numéro de Dieu, il faut écouter. Ressentir. Être.”*
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