On le sait depuis notablement Hitchcock et son brillantissime rejeton De Palma, déambuler dans les couloirs d'un musée n'est pas toujours la promesse d'un paisible intermède "culturisant", ainsi qu'il est dit en notre ère friande de hideux néologismes. Dario Argento, dans ce qui demeure l'une de ses ultimes fulgurances avant la chute, en administre là une singulière preuve. Son vieux complice, feu Morricone, n'est clairement pas le dernier à jeter de l'huile sur les feux d'une angoisse larvée, que la voix hors du commun de la grande Edda hérisse de bien lugubres ornements.
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