[ Ссылка ] Climat d'"incertitude", "prudence dans les entreprises", tel est le contexte de la faible progression économique en Allemagne selon Philipp Rössler.
Le ministre de l'économie reconnait que la crise de la dette pèse sur l'économie allemande.
Si l'inflation se révèle stable - les prix à la consommation ont augmenté de 1,7% en juillet, c'est le même taux qu'en juin - les perspectives de croissance intègrent toutefois désormais des "risques importants".
Le moteur économique de la zone euro accumule les signes d'affaiblissement.
"Les exportations et les importations ont diminué, globalement l'économie ne se porte pas si bien, ça va, mais pas comme avant, et l'Allemagne, qui mise sur ses exportations, est particulièrement affectée", estime Robert Halver, de Baader Bank.
Si l'excédent commercial allemand continue d'enregistrer de bons résultats, les exportations ont chuté de 1,5% entre mai et juin.
La demande, intérieure ou dans la zone euro, s'est tarie.
La première économie européenne se rattrape avec ses exportations vers les pays hors zone euro, qui s'établissent à 19.6%.
Certes, les importations ont baissé de 3% et permis à l'Allemagne de rétablir sa balance commerciale, mais le pays apparaît de plus en plus vulnérable.
Le spectre de la récession ne l'épargne plus.
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