En se répliquant dans les cellules humaines, le coronavirus acquiert des mutations : des erreurs de reproduction aléatoires qui modifient son code génétique. C’est ce qui arrive au virus chaque fois qu’il se propage et qu’il se multiplie.
Certaines de ces mutations se répercutent sur le spicule, la même protéine que ciblent les différents types de vaccins utilisés au Canada, comme ceux à ARNm de Pfizer-BioNTech et de Moderna. Le spicule joue aussi un rôle central chez les vaccins à vecteur viral non réplicatif d’AstraZeneca et Johnson & Johnson, aussi approuvés au pays, et à sous-unités protéiques (Novavax et Sanofi et GlaxoSmithKline) avec lesquels des ententes d’approvisionnement ont été conclues.
Une modification à la protéine S peut non seulement permettre au virus d’infecter plus facilement les cellules humaines, mais aussi réduire l’efficacité des vaccins.
Pour plus de détails : [ Ссылка ]
Ещё видео!