Jean-Luc Nancy, après « Un Virus trop humain », nous offre une seconde lecture inédite, allant de l’état du monde révélé par l’épidémie due au Coronavirus à une pensée du mal : entre maladie, malheur et malfaisance… et jusqu’à la capacité d’autodestruction de tout ce que nous avons nommé « bien ». Quelle issue dès lors ? Sans doute pas dans un discours de la puissance…
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