25 janvier 2016.
Grâce à un cocktail médicamenteux, la sédation profonde plonge le patient dans un état d’inconscience, jusqu’à la mort. Peut-elle l’accélérer ? Quelle est la frontière entre la sédation et l’euthanasie passive ? Ne risque-t-elle pas de développer une culture de la technicisation de la mort ?
Vis à vis.
Avec Régis Aubry, chef de service du département douleur et soins palliatifs du CHU de Besançon, président de l’observatoire national de la fin de vie, membre du Comité consultatif national d’éthique. Jacqueline Herremans, présidente de l’association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD) en Belgique.
Animation : Nadia Aubin.
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