Violaine aime Pierre de Craon mais est destinée à Jacques Hury. Mara, la sœur de Violaine, est amoureuse de Jacques. C’est le début de la tragédie dans laquelle s’agitent et se défendent les personnages, pris entre leur devoir et leur désir.
Violaine, pour avoir embrassé le lépreux Pierre de Craon, sera répudiée et entamera une nouvelle vie, en quête d’élévation et en recherche de lumière…

.
.
.

Le texte de Paul Claudel nous livre un drame où s’embrassent constamment les passions et leur sublimation, où les aspirations des protagonistes se débattent et jaillissent pour saisir le spectateur dans leur étonnante universalité.
La mise en scène s’appuie sur l’élément central de l’escalier, évoquant tantôt l’accès à une certaine forme de spiritualité, tantôt symbole de la chute.
La musique en scène- chant lyrique, violoncelle et flûte traversière- se voudra pulsionnelle ou éthérique, comme un élément indissociable du cœur et de l’esprit des protagonistes.

.
.
.

Avec :
Clotilde Sandri, dans le rôle de Violaine.
Flora Moulin, dans le rôle de Mara.
Johan Roussey, dans le rôle de Pierre De Craon.
Vaik-Ian Langloys, dans le rôle de Jacques Hury.
Nicolas Olivesi, dans le rôle de Anne Vercors.
Sylvie Reibel, dans le rôle de la mère.

Accompagnés par :
Fiona Feeley, violoncelle.
Leslie Blaevoet, flûte traversière.
Johan Roussey, chant lyrique.

Régie générale : Thomas Borrel.
Supports vidéos et photographiques : Léonie Troupel.

Mise en scène : Elodie David, avec le concours d’Elodie Chanut.

свернуть