Dans cette interview exclusive, Emmanuel Baret, sourcier et géobiologue dans la Vienne (86), nous dévoile les mystères de la géobiologie et nous offre une explication scientifique de son métier de sourcier.

Découvrez comment la géobiologie, une discipline encore méconnue, peut influencer notre santé, et apprenez-en plus sur les définitions essentielles de cette pratique fascinante.

Cette interview illustrée par des cas concrets vous apportera un éclairage unique sur l'interaction entre l'homme et son environnement.

Emmanuel Baret nous explique les fondements de la Géobiologie et quels instruments il utilise pour détecter les ondes électriques et électromagnétiques, des ondes qui sont le fruit de frottements en profondeur de l'eau et de la roche.

Des ondes qui peuvent venir perturber le monde du vivant à la surface de notre planète.

Des ondes qui peuvent avoir des impacts directs sur notre santé jusqu'à provoquer des cancers et de sérieux dysfonctionnements physiologiques.

Emmanuel Baret explique : "la Géobiologie, c'est la science de l'évitement". Dans une maison, le plus important, c'est la position du lit, parce que c'est l'endroit de la maison où nous passons le plus de temps. C'est l'endroit de la maison où les ondes magnétiques ont le plus de chance de nous impacter.
L'évitement, c'est donc déplacer les individus pour qu'ils ne soient pas impactés. En l'occurrence, déplacer le lit quand c'est possible.

La géobiologie étant une science liée à la circulation de l'eau, un géobiologue est forcément sourcier ! Emmanuel Baret nous explique comment on trouve de l'eau sur un terrain, même à distance !

Dans cette interview passionnante, vous apprendrez également à quoi servent les Menhirs ou encore les Dolmens qui ont des facultés thérapeutiques. Placés sur des "nœuds" d'énergie bien précis sur notre planète.

Vous verrez enfin qu'il est possible de détecter la mémoire des lieux et des âmes en errance, grâce à un soupçon de surnaturel !

Merci à @emmanuelbaret1887 pour sa disponibilité et ses explication sur ce qu'il appelle "le monde de l'invisible".

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