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En opposition à cette mesure du plan climatique de l'Union européenne pendant plusieurs semaines, l'Allemagne votera enfin ce mardi 28 mars, la fin des moteurs thermiques sur les voitures neuves à partir de 2035. En retour, la Commission européenne a chuté des carburants. Un pas de plus vers l'objectif européen de la neutralité du carbone. En opposition à cette mesure du plan climatique de l'UE pendant plusieurs semaines, l'Allemagne votera enfin le mardi 28 mars, la fin des moteurs thermiques dans les voitures neuves à partir de 2035. La Commission européenne et Berlin ont annoncé samedi qu'elle avait conclu un accord sur ce sujet. Le texte vise à forcer nouvelles voitures à n'émettre plus CO2, de facto interdisant l'essence, véhicules diesel et hybrides au profit tous électriques. La présidence suédoise du Conseil de l'UE a assuré que un "large soutien" a été trouvé parmi les ambassadeurs des 27 pays membres de Bruxelles . Ce dernier a admis que ces réglementations soient "organisées à l'ordre du jour" d'une réunion des ministres de l'énergiePour l'adoption formelle, la dernière étape du processus législatif mardi. En échange l'accord donné par l'Allemagne pour mettre fin à la production de voitures émettrices CO2 après 2035, la Commission a chuté sur le résumé sur les combustibles sommaires. Il devrait formuler une proposition en ce sens qui devrait être validée à l'automne 2024. Il est largement contesté par les ONG environnementales quiDécrivez-le comme coûteux, à l'énergie et à la pollution. Cependant, de nombreux experts ont estimé que cette technologie avait peu d'avenir en avant car elle concerne exclusivement véhicules de luxe.Markus Duesmann, le patron d'Audi, a notamment prédit que les combustibles sommaires "ne joueront pas un rôle important dans le moyen terme dans voitures privéessegment". Le règlement initialement bloqué par l'Allemagne Début mars, l'Allemagne a surpris ses partenaires en bloquant ce règlement mettant fin aux moteurs thermiques dans les voitures neuves à partir de 2035. Une décision rare, d'autant plus que le texte avait été approuvé en plénière par les députés à la mi-février, après un feu vert des États membres, notammentAllemagne. Les libéraux du FDP, le tiers de la coalition dirigeante derrière les sociaux-démocrates et les Verts, étaient à l'origine de cette initiative. Après plusieurs revers électoraux, ce dernier a orienté leur lutte politique sur la défense de l'automobile.Pour cela, ils ont fait le pari que l'opinion publique en Allemagne serait particulièrement hostile à l'interdiction des moteurs thermiques.

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