« Je n’ai jamais frappé une femme de ma vie et ça n’arrivera jamais. » Au lendemain de sa relaxe, Alain Schmitt a dénoncé un « lynchage médiatique » lors d’une conférence de presse. Accusé de violences par sa compagne, la judokate et médaillée olympique Margaux Pinot, l’entraîneur a clamé son innocence. Dans la nuit de samedi à dimanche dernier, une dispute a éclaté au sein du couple. Margaux Pinot affirme que son compagnon lui a asséné des coups, frappé la tête contre le sol et a essayé de l’étrangler lors de leur altercation. « J’ai cru que j’allais y laisser ma vie . C’est mon esprit de guerrière, de combattante qui m’a sauvée », relate-t-elle douloureusement. « C’est parti dans tous les sens, à droite, à gauche, on a cogné dans les murs, dans un radiateur », raconte de son côté Alain Schimtt, se défendant d’avoir porté des coups à la jeune femme. La relaxe de l’entraîneur par le tribunal pour manque de « preuve de culpabilité » a provoqué un tollé dans le monde du judo et sur les réseaux sociaux où la justice s’est retrouvée accusée de laxisme envers les violences conjugales. La controverse s’est embrasée mercredi avec la publication sur Instagram, par Margaux Pinot elle-même, d’une photo de son visage tuméfié peu après les faits. Le parquet a fait appel de la relaxe .
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