LE MILLIONNAIRE RECONNAÎT SON GRAND AMOUR DANS LA NOUVELLE CUISINIÈRE, DISPARUE IL Y A 20 ANS...

Les roues de la voiture de Maxime Dubois crissèrent légèrement sur le gravier impeccable de l’allée principale de sa demeure, une vaste propriété nichée au cœur des environs verdoyants de Paris. Après une longue semaine de négociations tendues à Londres, il aspirait à retrouver le calme de son imposante demeure, où tout était ordonné à la perfection. Son esprit, toujours préoccupé par les chiffres et les transactions, ne s’attendait en rien à ce qui l’attendait derrière ces murs.

En franchissant la porte d’entrée, Maxime fut accueilli par le majordome, Jacques, qui lui tendit une serviette chaude et lui annonça que le dîner était prêt. « Très bien, merci, Jacques. Je vais me rafraîchir et descendre. » Avec son air habituel de détachement, il gravit les marches vers sa suite privée, savourant l’idée d’un dîner tranquille.

Quelques instants plus tard, lorsqu’il redescendit, une odeur inhabituelle emplit l’air. Ce n’était pas le parfum sophistiqué des plats que son chef habituel préparait, mais quelque chose de différent, plus simple, presque familier. Intrigué, il se dirigea vers la cuisine. Une silhouette féminine, de dos, s’affairait près du four. Ses gestes précis, mais empreints de modestie, attiraient le regard.

свернуть